Mon Bomber de fête Etam au quotidien

Mon Bomber de fête Etam au quotidien

• samedi, janvier 14, 2017

La pièce apriori

Cette année, le BOMBER, c'était un peu la pièce à avoir. Le truc tendance que l'on voyait partout. J'ai résisté à l'achat très longtemps puisque je n'ai craqué pour cette pièce qu'en tombant sur le bomber de fête d'Etam le 27 décembre - oui, oui soyons très précis dans cette histoire. Je n'avais pas craqué pour un bomber pour plusieurs raisons: trop de bomber, tue le bomber - les tendances, ça me gave vite - et puis j'étais sûre que cela ne me mettrait pas en valeur  - la rondeur du truc sur la rondeur de mes bras, je m'attendais à la pire des catastrophes grossissante. Et puis, j'ai vu ce bomber Etam dans un rayon et il a fallu que je l'essaie, vous connaissez sûrement la suite...nan! JE L'AI ACHETÉ.

Cela faisait un siècle que je n'étais pas rentrée chez Etam mais dans la petite ville où j'étais pour passer les fêtes à part cette marque et Pimkie, il n'y a pas grand choix de boutiques de fringue. Comme d'habitude, j'étais partie pour trouver un truc bien précis (un fin pull noir qui ne soit pas transparent) avec la ferme intention de ne pas trop dépenser; et bien sûr, j'ai trouvé ce bomber et j'ai explosé le budget prévu. J'ai quand même trouvé le fameux pull que je cherchais, c'est celui que je porte dans le look. 

Ce bomber, je l'ai vu dans le rayon et tout de suite, j'ai eu le coup de foudre. Mais bien sûr j'avais des doutes, mes peurs de me retrouver bibendum dans cette pièce (je crois que la rondeur du haut de mon corps est mon pire complexe, surtout que je n'ai jamais eu un poids aussi élevé que maintenant). Alors je me suis détournée de lui, tout en continuant de roder autour. Je ne sais pas si ça vous arrive, vous voyez une pièce, vous vous dites nan, ça t'ira pas mais vous vous sentez quand même attirés. Et puis arrive le moment où vous vous dites "bon bah j'ai qu'à l'essayer, de toute façon je sais que ça m'ira pas!". GRAVE ERREUR... 

Quelle fut ma surprise quand j'ai passé ce bomber et que finalement cela ne me grossissait pas (ou pas autant que je l'imaginais). Le seul truc qui m'a un peu dérangé, c'est que je le trouver un peu court. Je pensais que les bombers étaient un peu plus longs (c'est le syndrome du camouflage de fessier par vêtements longs qui parle). L'association avec le pull noir était d'ailleurs très joli. Il fallait que je me rende à l'évidence, je voulais ce truc, je voulais ce bomber depuis que je l'avais vu en rayon. 

Le prix m'a dissuadé une fraction de ce seconde, avant de me perdre encore avec une autre phrase d'auto-conviction du dépensier "on ne se fait pas plaisir tous les jours, prends-le!". 

Résultat, vous le savez déjà puisqu'il est sur les photos et que cela donne lieu à un article. Je l'ai acheté ce fameux bomber de fête Etam. La transparence et le délicat détail des plumes argentées ont eu raison de tous mes aprioris. 

Pour le porter au quotidien sans trop faire festif, j'ai décidé d'associer cette pièce à un total look noir. 

Bomber: Etam (soldé en ce moment)

Pull: Etam

Pantalon: Pimkie

Chaussures: Jennifer

Pour les photos, je voulais un décor à la fois urbain et futuriste. Nous avons donc pris la direction de la dalle de Mériadeck avec Rhomin. Et on s'est bien marré à jouer au photographe et à la modeuse. On a trouvé un immeuble dans en brillance, parfait pour se prendre pour Rihana dans un clic de Davide Guetta.  

Photographe: Rhomin

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Et vous, avez-vous un bomber dans votre dressing. Y a-t-il des pièces dont vous pensiez qu'elles ne vous iriez pas et qu'en fait c'est le contraire?